Friday, March 4, 2011

A French Composition

So I've been doing a little bit of French homework these days.  It's amazing how I can have so much homework from just two classes. 
Just for kicks, and to show off m work, I'm posting a composition I did the other day.  It's a (made-up) interview between a BBC reporter and a member of the French Resistance living in Caen on the evening of D-Day.  Just thought it would be interesting to share. 

Although my professor will certainly do so, feel free to point out any grammatical mistakes.


Reporter: Bonsoir, tout le monde! Je m’appelle Jean Regal et je suis avec le BBC. Ce soir, je vous parle de la petite ville français, Caen. Aujourd’hui est le sixième de juin, 1944. Ce matin, une grande armée de soldats américaines, canadienes, françaises et britanniques ont fait un breach dans le defence allemande sur les plages de la normandie.
La invasion de ce matin était très difficile. Beaucoup de soldats allies ont morts pendant la bataille. Maintenant, je vais parler avec un soldat avec la Résistance française. Bonjour, monsieur, comment t’appelle-t-il?
Henri: Je m’appelle Henri Dupont.
Reporter: Combien d’ans as-tu?
Henri: J’ai vingt-neuf ans.
Reporter: Depuis combien de temps battiez-vous pour la Résistance française?
Henri: Je bats pour la Résistance française depuis quatre ans. Quand Paris est tombeé à les Nazis, j’ai su que il fallait que je joins la Résistance française. J’étais triste que mon pays ne ont pas pu batter contre aux Nazis. Il y a quatre an que je caches aux Nazis. Maintenant, je peux les batter en plein air!
Reporter: Quelles types d’emotions avez-vous aujourd’hui?
Henri: C’est une bonne question. Aujourd’hui j’avais eu beaucoup d’emotions. J’avais eu peur. J’avais eu joie. Finalement, j’avais eu tristesse.
Reporter: Pourquoi avais-tu eu plusiers emotions different?
Henri: Ce matin, j’avais peur. Quand j’ai appris que les soldats allies viendront en france, j’ai pensé que les soldats allemands viennent pour m’obtenir et ma famille. J’ai su que les Nazis me voulaient.
Reporter: Pourquoi est-ce que vous n’avez pas peur non plus?
Henri: Alors vers midi, j’ai appris que les soldats américaines avaient gagné le plage de normandie. Quand j’ai appris cette bonne nouvelles, j’avais beaucoup de joie parce que J’ai su que les soldats allemands ne viendront jamias pour moi ni ma famille!
Reporter: Alors, je comprends maintenant. Bien sûr, c’était des bonnes nouvelles! Mais, dites-moi, s’il vous plait, pourquoi avez-vous beaucoup de tristesses?
Henri: Alors… c’est une histoire très triste. Je ne suis pas sur que je pousse vous dit… Mais, je vais éprouver vous dire. Cette après-midi, quand les soldats américaines bombardaient les allemands, une bombe perdue a bombardé ma maison. Dans la explosion, ma femme et mon fils ont mort.
Reporter: Cette est très mauvaise nouvelles. Je suis très désole.
Henri: Merci… Vive la france!
Reporter: Vive la france!
En france, aujourd’hui était une journée joyeuse et une journée triste. Comme Dwight D. Eisenhower a dit, “Today is the day of all days.”

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